De Skinner à Papy : la rencontre de deux psychologues/improvisateurs

Qu’aurait dit Skinner à propos de l’impro ?

Il est psychologue, improvisateur, fait des interviewes autour de l’impro, s’intéresse aux TCC et à l’improvisation appliquée. Lui, c’est Julien Mallet-Cosson, et il est le 3ème invité du podcast Improfpsy.

Julien parle de son salaires, ses motivations à changer de métier, sa prudence vis-à-vis d’autres approches, l’inscription de la psychologie dans l’improvisation appliquée, la mise en échec, l’importance de la formation de formateur et passe en quelques minutes à peine de Burrhus Frédéric Skinner (scientifique du siècle dernier dont les travaux sur le comportement sont restés célèbres) à Alain Degois (dit Papy, l’homme qui réussit à être cité par toutes les personnes interviewées).

Cette rencontre entre psychologues avec un intérêt commun pour l’improvisation, qu’elle soit théâtrale ou appliquée, renforce l’envie de continuer et ajoute une nouvelle pierre au pont qui relie improvisation et psychologie.

Nous avons profité de l’occasion pour faire une interview croisée entre psychologues/improvisateurs, dont l’autre partie est accessible sur la chaine Youtube Vivre Impro.

De nouveaux échanges sont déjà dans les tuyaux, avec des psychologues mais aussi des non-psychologues.

En respectant cette maxime : « on peut travailler avec humour et en rigolant ».

Les commentaires et suggestions sont, comme toujours, les bienvenus.

Un podcast pour parler improvisation, pédagogie et psychologie

Depuis plusieurs années, au fil de rencontres lors d’événements artistiques, scientifiques ou pédagogiques, le discours de plusieurs personnes m’a paru passionnant et c’était toujours un plaisir de partager ces moments.

Une triple thématique : improvisation, pédagogie, psychologie

En journée lors d’un débat construit dans une conférence internationale, à 2h du matin dans une cuisine, à la machine à café entre deux cours, au catering lors d’un spectacle ou sur la route : beaucoup d’échanges que l’envie poussait à partager, et le temps tenait à conserver secrets. Le temps est passé, l’envie est restée.

Deux épisodes déjà disponibles

Un premier épisode disponible depuis quelques semaine déjà ici, avec l’interview de Céline Monnier, enseignante et improvisatrice. Elle y prône l’improvisation pour la formation des enseignant.e.s et partage son expérience personnelle.

Le deuxième épisode vient de sortir, avec là aussi un échange avec Jean-Baptiste Chauvin (aka JiBé). Avec ses nombreuses casquettes, il parle de la maison de l’impro, Improfrance, des assises de l’impro, du KO des mots, de la communication sur les réseaux et la rencontre, l’évolution de l’impro en France depuis 40 ans, son duo avec Papy (le bulldozer et la dameuse), Jango Edwards, et Bernard Stiegler. Cet épisode est aussi l’occasion d’inventer un concept : la méta-désautomatisation.

Et ensuite ?

D’autres épisodes suivront, avec d’autres échanges, et des formats plus courts pour parler de sujets spécifiques : l’improvisation appliquée ou les liens entre recherche et l’impro sont en cours.

Si vous avec des suggestions de sujets à aborder ou de personnes à interviewer, les commentaires et la boite mail sont ouverts.

Tous les épisodes sont disponibles sur les principales plateformes

Comme Brad Pitt, Philippe Vandel et Aude GG, je suis…

Prosopagnosique ! Ou plutôt, j’ai des difficultés à reconnaître les visages. Sans être atteinte de la pathologie, je passe régulièrement devant des collègues, connaissances et étudiant(e)s sans les saluer. Pas par manque de politesse, simplement parce que je ne les reconnais pas. Heureusement, après quelques rencontres, le phénomène disparaît et j’ai heureusement toutes les anecdotes associées bien mémorisées.

Qu’est-ce que c’est qu’être prosopagnosique ? Si vous voulez un témoignage clair d’Aude Gogny-Goubert, la vidéo de la chaîne Dans Ton Corps est très accessible et montre bien les difficultés au quotidien. La jolie formule d’Aude GG est qu’il nous faudrait un « Shazam des gens ».

Afin d’éviter les désagréments et les stratégies alambiquées mises en place par de nombreuses personnes dans mon cas, c’est désormais annoncé clairement, notamment lors de conférences avec des gens que je vois tous les 12 ou 24 mois. D’expérience, cela amuse beaucoup et m’évite de ne savoir quoi dire face à une personne qui m’embrasse en m’appelant par mon prénom et demande des nouvelles de ma femme.Cerveau et psycho prosopagnosie

Si vous préférez lire un peu, je vous conseille le dernier numéro de Cerveau et Psycho consacré au sujet.

 

Pour les amateurs et amatrices de podcast, je vous conseille le récent podcast de la tête au carré sur France Inter, consacré au sujet.

Tac cerveau physionomiste

Et vous, vous avez des astuces pour reconnaître les autres ?

La théorie des cordes en improvisation

Pendant le stage de formation de formateurs d’Improforma en mai 2016, j’ai partagé avec Clémence Mollet, formatrice en improvisation de son état, une préparation d’atelier. Nous voulions travailler sur la gestion de l’espace, et souhaitions créer ou adapter un exercice spécifique pour éviter que les improvisateurs se collent en permanence, comme c’est souvent le cas chez les débutant.e.s.

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Voici le principe de l’exercice :

  1. Deux improvisateurs attachent autour de leur taille une même corde.
  2. Pour travailler l’éloignement et l’utilisation de l’espace, les improvisateurs doivent utiliser une longue corde (4 mètres environ) et celle-ci ne doit jamais toucher le sol.
  3. Pour travailler sur des espaces réduits (plus rare), les improvisateurs doivent laisser moins d’un mètre entre les deux et ne peuvent ainsi pas s’éloigner l’un de l’autre.

Evidemment, la corde n’est pas un accessoire de jeu et il est interdit de la toucher ou d’y faire référence. C’est un simple rappel de la distance entre les joueurs.

Pour les plus ambitieux, l’exercice est déclinable à 3 ou plus.

Si vous avez vent d’un exercice proche ou identique, n’hésitez pas à le signaler dans les commentaires. Et si vous utilisez cet exercice, tout retour est le bienvenu.

Règles basiques pour l’épistolarité académique

Dire bonjour, cela paraît évident…

…et comme tout ce qui va sans dire, ça va mieux en le disant. S’il est nécessaire de le repréciser, cette première phrase annonce une négation immédiate puisque tout le monde, étudiant ou non, n’a pas cette présence d’esprit.

A force de répéter les mêmes choses à plusieurs reprises, j’ai compilé quelques observations ici et les présente ici. Voici quelques erreurs relevées dans les différents messages, complétées de quelques exemples antérieurs, qui pourront servir de « liste des choses à ne pas faire » et surtout les choses à faire aux futurs étudiants passant par ici :

  • Pourquoi ce message ? les courriels ont l’immense avantage d’avoir une zone « objet », servez-vous en…efficacement. Dites simplement pourquoi vous écrivez en quelques mots clefs. Exit les longues phrases, les messages sans objets (risque de partir en spam) ou les titres trop générique (L1).
  • L’adresse mail : préférez une adresse simple et claire plutôt que des adresses ou fournisseurs d’accès fantaisistes. Avant même d’ouvrir le message, pensez-vous qu’on accorde plus de crédit à « kevinbogossdu80@kikoolol.fr » ou « kevin.durand@gmail.com » ? Au-delà de l’université, pour les demandes de stage ou d’emploi par la suite, autant faire les choses correctement dès le départ. Faute de partir avec un avantage, cela évite de partie pas avec un handicap.
  • Bonjour : comme indiqué plus haut, ça paraît évident. Pourtant, dans un tiers des cas, aucune accroche de ce type n’est présente au début du mail. Là aussi, évitez les « Salut » et autres formules familières.
  • Formule de politesse : Entre les salutations distinguées qu’on nous prie d’agréer et un « bisou » se situe le cordialement. C’est la formule Fort Boyard. Je l’utilise par défaut, pour les étudiants comme les professeurs.
  • Les fichiers joints : quel bonheur de recevoir un fichier nommé « McFly_Marty_L1_methodoexpe.doc ».  Pourtant, bien souvent, je reçois des fichiers « devoir.doc », « présentation.ppt » ou « mémoire.doc ». Ceci n’est évidemment pas l’idéal pour savoir qui envoie et le contenu. Lorsqu’on envoie un fichier à quelqu’un, le renommer pour que le destinataire sache directement de quoi il retourne est une bonne idée. Surtout pour des étudiants connaissant la théorie de l’esprit. A titre d’information, je dois recevoir environ 1500 fichiers devoir, présentation ou mémoire dans l’année. Un nom complet et un numéro de version sont un vrai plus.
  • Who’s who : si l’adresse mail n’est pas toujours claire, une signature est la bienvenue. Particulièrement lorsque les demandes sont aussi précises que « on m’a dit que vous seriez présent à la prochaine séance, est-ce vrai ? ». Si je n’avais qu’un seul cours dans l’année, je pourrais répondre.
  • Excusez-moi de vous déranger : trop de politesse tue la politesse. Je consulte ma messagerie volontairement, donc inutile de vous excuser. Allez droit au but. Ce n’est pas nouveau, Coluche en faisait un sketch il y a plus de 30 ans.
  • Soyez précis dans les demandes de rendez-vous : si vous avez besoin de rencontrer quelqu’un, donnez vos créneaux de disponibilité (au pluriel), de façon précise et en évitant les négations. Par exemple « je suis disponible lundi de 16h à 18h, mercredi de 12h à 16h et vendredi de 9h à 18h » plutôt que « je peux tout le temps sauf lundi, mardi après 12h, mercredi avant 16h, vendredi de 11h à 15h et de 16h30 à 18h, et peut-être jeudi après-midi, sauf si je ne suis pas disponible mardi après-midi ».
  • Relisez vous : comme tout le monde, il m’arrive de faire des fautes à l’occasion. Mais comme la plupart de la population, je ne suis ni aveugle ni daltonien. Aussi il m’est possible de détecter lorsqu’un mot est souligné dans mon traitement de texte. Word, Libre office & Co ne sont pas parfaits, mais permettent de supprimer pas mal de choses.

Donc si vous envoyez un message avec une adresse qui ne permet pas de vous identifier, un nom de fichier sans information, et un message qui ne contient ni bonjour, ni aucun contenu et encore moins d’objet, ne soyez pas particulièrement étonné.e.s de ne recevoir aucune réponse.

 

Pour aller plus loin, cliquez sur ce lien pour accéder à un tableau créé par le Dr Yana Weinstein recensant les choses à faire et à ne pas faire (en anglais).

Si vous trouvez d’autres choses, n’hésitez pas à l’ajouter en commentaire, le billet sera mis à jour.

 

Le retour du psy à la maison de retraite

Retour dans un EHPAD (Etablissements d’Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes) cette semaine…mais pas en tant que Psychologue, ni même en tant que chercheur.

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C’était en tant qu’improvisateur. Ou plutôt, en tant que formateur en improvisation théâtrale, avec une troupe d’improvisatrices, orthophonistes dans quelques mois. Avec Magali, nous avons co-animé une dizaine de séances pour découvrir l’impro et son application professionnelle autant que son aspect artistique. Nous voulions terminer cette première session par une représentation et, vu le parcours des improvisatrices, l’envie d’aller dans un lieu peu habitué à l’impro a vite émergée.

Direction EHPAD donc, le même type de structure que celle dans laquelle j’ai effectué mes premiers pas de stagiaires en Psychologie en 4e année (Master 1), au même niveau que les étudiantes en orthophonie, 12 ans après. Depuis la fin de la thèse, avec les patients aux urgences et en neurologie, le contact des patients me manquait. Il me semblait de plus en plus compliqué de retrouver le contact direct avec les patients, au sein des institutions, en plus de tout le travail à l’Université. Tout cela a évidemment pris du temps à mettre en place, mais cela valait le coup.

 

D’abord parce qu’un groupe que nous avions accompagné avec Magali se produisait sur scène. Et c’est la première fois que cela arrivait.

Aussi parce que pour la plupart des 8 improvisatrices, c’était la première représentation sur scène. Et forcément la première fois pour de l’improvisation.

Enfin, et surtout, pour les sourires, quelques échanges avec les personnes dans le public. Il y a eu quelques mots très touchants, des sourires, des chansons, des applaudissements…beaucoup d’applaudissements.

 

Je ne sais pas s’il y aura d’autres spectacles, avec d’autres étudiant.e.s, d’autres groupes, dans des EHPAD ou des maisons de retraite. Après avoir participé avec le MIAM à un spectacle d’impro pour les enfants et familles de SATED en Picardie l’an dernier, ce spectacle me renforce dans l’idée qu’on peut, voire que l’on doit, amener l’impro partout.

Nous verrons ce que donnera l’année prochaine, mais nul doute que nous ferons tout pour que les sourires reviennent. Ceux du public et aussi ceux des personnes sur scène. Que de courage fallait-il pour se lancer sur scène, sans texte, décor ni costume, devant un public inconnu, peu sensibilité au théâtre d’improvisation !

Je suis retourné en EHPAD, pas comme Psychologue cette fois mais comme formateur en impro. C’était bien, j’étais heureux, fier de ces femmes extraordinaires, et avec de nouvelles idées pour la suite.

Mesdames, bravo ! Et merci.

 

Une semaine d’improvisation

Il y a quelques semaines, j’étais aux Ateliers du bonheur à l’école pour faire découvrir l’improvisation théâtrale à l’école. Le défi était de taille puisque chaque atelier ne durait qu’une heure. Une douzaine de participants, de 10 à 60 ans, pour la plupart sans connaissance de l’improvisation

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Dimanche, dès 9h (c’est tôt pour de l’impro le dimanche matin), nous faisions avec Magali (de la boite d’impro) une fausse conférence sur la façon de faire un pitch dans le cadre du start-up week-end e-santé. Le soir, nous avons improvisé un faux pitch, tout en délicatesse, sur une invention qui aura peut-être un jour son succès. Le pitch n’était pas 100% improvisé dans le sens où il a fallu préparer des diapos, ce qui a été fait en 20 minutes. Pour le reste, aucune répétition, et en sortant, l’idée que de nombreuses entreprises et écoles de commerce devraient faire de l’improvisation appliquée…pour celles qui n’en font pas déjà.

 

 

Lundi, un tweet était envoyé à Jamel Debbouze pour avoir son avis sur l’article que nous avions écrit avec Magali Quillico & Gustave Parking. On se doute qu’il doit recevoir des centaines ou milliers de notifications chaque jour, mais cela vaut le coup de tenter…

Jeudi, il repartageait le message à ses 6,6 millions de followers. En voilà du monde informé qu’on peut faire de l’impro à l’école, pour l’éducation !

Jeudi, c’est aussi le jour où on fait l’atelier du MIAM. Cette semaine, nous bossions sur un format inédit pour un spectacle en mai, le dernier prévu cette année. J’ai hâte !

 

Vendredi, direction l’ESPE (Ecole Supérieur du Professorat et de l’Education, c’est à dire là où les profs des écoles vont à l’école) pour une journée d’atelier d’impro appliquée à l’enseignement. Passés les présentations et les premiers exercices d’échauffement, les futurs titulaires de l’éducation nationale s’amusent et se mettent en danger dans des mises en situation adaptées à chacun.e : la voix qui ne porte pas assez (ou trop), la posture en entrant en classe, la gestion de plusieurs tâches en parallèle…c’était la 3ème fois que j’animais cet atelier avec ce public, et c’est un plaisir chaque fois renouvelé. Particulièrement sur la motivation des enseignants, leur amour du métier et l’envie de progresser.

 

Bref, une belle semaine, assez fatigante, qui permet de voir que l’improvisation peut être utile partout, pour tous. Et avec quelques autres perspectives pour la suite…(teaser).

 

Et vous, que faites-vous de l’improvisation appliquée ou en spectacle ?

L’improvisation à l’école (avec des morceaux de science dedans)

L’impro à l’école ?

Oui, dans les banlieues…pour les gamins qui veulent faire les malins devant les autres. Ou pour ceux qui sont trop timides…

Faute de cliché !

L’improvisation, c’est pour tous. Si vous n’y croyez pas, jetez un œil à l’article que nous avons écrit avec Magali Quillico (formatrice en improvisation) et Gustave Parking (comédien et formateur). Evidemment, si vous êtes déjà convaincu par l’impro, vous pouvez le lire également. C’est en français, sorti dans Les Cahiers Pédagogiques tout récemment.

On y cite des chercheurs incroyables (Francis Eustache ou Francisco Varela) comme des comédiens formidables (Jamel Debbouze ou Robert Gravel).

N’hésitez pas à le faire lire dans vos écoles, aux enseignants, élèves, parents…à tout le monde.

 

C’est ICI qu’il faut cliquer.

 

 

Bonne résolution 2017 : de l’entretien

C’est la saison des voeux et des (bonnes) résolutions.

Pour bien commencer, un premier billet qui inaugurera, je l’espère, une année plus riche sur ce blog.

Avec pour ce premier article de 2017, un lien vers le blog ImproEtc, par Hugh Tebby, qui nous nettoie les neurones en échangeant avec différents improvisateurs dans ces podcasts au parfait timing (1h environ). Cela a accompagné plusieurs trajets cette année, et les rend parfois plus courts, mais toujours plus agréables.

Il est évidemment question d’improvisation, par des professionnels aux parcours divers, et très souvent de pédagogie, sur la façon de transmettre, la dynamique de groupe, la passion, l’engagement citoyen.

Bref, un blog à ajouter à vos favoris, et un podcast à s’écouter ou réécouter.

S’il faut en recommander un tout de suite, ce serait celui où les rôles sont inversés, et au c’est Hugh Tebby lui-même qui se retrouve interviewé.

 

Comment apprendre efficacement ?

Le cerveau droit et le cerveau gauche, les styles d’apprentissage, la mémoire photographique…que de mythes sur l’apprentissage que nous entendons régulièrement chez les étudiants, et malheureusement chez certains enseignants. Le récent
succès médiatique de Céline Alvarez, qui cherche dans les neurosciences et la psychologie des guides pour mieux apprendre montre un certain intérêt pour le sujet.

Mais cet intérêt n’est pas franco-français, et certaines chercheuses et enseignants américaines ont développé un site qui explique aux principaux acteurs (enseignants, parents, apprenants de tous âges) comment apprendre efficacement. L’équipe de Learning Scientists a un formidable blog en anglais, et a récemment sorti 6 posters, à diffuser largement dans toutes les écoles, tous les collèges, lycées et dans les universités de France et de Navarre. J’ai participé à la traduction parce que c’est présenté simplement, qu’il s’agit stratégies vraiment efficace et que cette efficacité est accompagnée d’une source scientifique fiable à chaque fois. Tout ce qu’il faut pour une bonne vulgarisation.

Seule contrainte, ne pas utiliser le matériel dans un but commercial.

Pour télécharger tous les posters en un seul clic, c’est par ici. Et pour partager, c’est autant que vous voulez !

Quand vous l’afficherez dans l’établissement, n’oubliez pas d’envoyer la photo 🙂

 

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